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Cette partie a permis de montrer que la responsabilité hiérarchique est un mandat exigeant, qui se différencie nettement de l’idée d’une consécration, d’une promotion, d’une place à convoiter.

Alors que le concept de pouvoir est omniprésent en management, nombreux sont les managers qui ne l’exercent pas dans l’organisation, qui ont abandonné leur pouvoir de transformation personnel ; ou encore qui confondent le pouvoir d’être efficace avec les manigances et les basses manipulations. La responsabilité est en réalité une compétence, celle de ceux qui savent assumer la place qui est la leur.

Le mandat managérial consiste aussi à obtenir des performances, pas à se plaindre de son entourage et des circonstances. Une performance se définit clairement et se mérite, sinon elle ne sera que quelconque, à la hauteur de la banalité. Les intentions concentrent des énergies très puissantes.

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En management, le manque de pédagogie, de tact et de finesse est le summum de la paresse. Le regard porté sur l’Autre détermine pourtant ce qu’il est possible de faire avec Lui. Lorsque l’approche de l’Autre n’est pas pathologique, il est possible de parvenir à une très grande qualité d’Accueil, qui est une coopération totale et authentique.

S’occuper vraiment des personnes, dans toutes les dimensions et toutes les exigences que cela requiert, c’est reconnaître et admettre une grande mission dont la substance est une implication totale, qui ne se satisfait pas des effets de manches technocratiques. La Grande Personne, s’occupe des personnes, et signe ce mandat dignifiant et exigeant qu’est le management des personnes.