THQM, Notre métier, L’amélioration de la performance globale par la cohésion

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L'Habileté Managériale

Conclusion de la première partie

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Cette première partie a permis de montrer le besoin considérable d’humaniser le management des organisations, ou de le ré-humaniser, si tant est qu’il l’ait été historiquement.

Les entreprises et les organisations sont un des lieux où la vie se prive de son expression pleine et entière. Ce que les personnes se font subir, et les manigances qu’elles échafaudent, interrogent et mettent en péril en premier lieu la vie en communauté, puis par contrecoup ce qu’elles considèrent être la démocratie, leur toute puissance égoïste. C’est une civilisation qui est menacée parce qu’elle n’a pas totalement su se civiliser.

Les individus, plus ou moins polycarencés, espèrent pouvoir se payer ou se venger « sur » l’organisation. Mais ce n’est pas totalement de leur faute, car il s’agit aussi des effets d’un management défaillant : incapable de bâtir, incapable de négocier, incapable de détecter et d’empêcher les ennemis dormants de nuire, à l’organisation, c’est-à-dire aussi à leurs collègues ou « amis ».

Dans ces environnements dont l’humanité est appauvrie, les castrateurs, inconséquents, incompétents, sans dimension, trouvent un territoire et un terreau pour se défouler.

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On pourrait avoir l’espoir que la fonction officiellement en charge de l’humain dans les entreprises, la Gestion des Ressources Humaines, soit assez courageuse, vigilante, innovante, pour intervenir sur la qualité du management, ou empêcher, à tout le moins, les situations critiques de perdurer. Ce n’est que rarement le cas, car étonnamment cette fonction permet parfois aux élites condescendantes de rayonner, sans réellement vibrer pour l’Humain ; quand on ne leur demande pas de plier aux injonctions de stratégies cyniques en bons soldats.

Lorsqu’en outre le management vivant, celui de la décision et du passage à l’acte mûris, se fait doubler par les outils, la situation devient délicate. Notre société est devenue malade de ses technologies et de ses systèmes automatiques. Tout un chacun peut mesurer à quel point il est devenu difficile de trouver des interlocuteurs valables qui prennent effectivement en charge des problèmes ou des demandes, sans s’abriter derrière l’informatique, les procédures et autres cases rigides.

Au final, cette partie nous interpelle tous, membres de cellules sociales, sur le combat pacifique à mener pour changer notre destin et ne pas le laisser entre les mains des technocrates mal inspirés. Nous avons raison de vouloir manager humainement.



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